PARODY Moonlight academy

Une fois, je marchais dans la rue quand j'ai bousculé quelqu'un sans faire exprès. Cette personne avait échappé un petit papier, mais elle n'a pas osé se retourner et de la ramasser. Ce que je faisais? J'ai pris le bout de papier et j'ai voulu me retourner pour le rendre, mais elle a disparue. Bon, pourquoi pas lire. Donc, je baissais mes yeux et je regardais, c'était inscrit: "Va dans la forêt de Moonlight" C'était quoi ça? La mystérieuse forêt que tout le monde disparaissait quand il entrait. C'était comme la légende des Bermudes, mais cette forêt c'était une forêt... Je me dirigeais par là, comme la personne a disparu se dirigeait vers direction, je n'ai pas pu m'en empêcher de jeter un coup d'œil, j'étais curieuse. Je rentrais dans la forêt où qui avait une pancarte qui nous avertissait de ne pas s'approcher. Tranquillement je pénétrais le bois, la tête en l'air sans me préoccuper de rien de ce que je venais de faire...

Je marchais tranquillement et je sentais bouger près de moi, alors je me tournais la tête vers la droite. Personne. Je continue sans me poser d'autres questions quand je vis le même ombre bougé près de moi. Je me retournais et c'était une vieille dame qui me regardait. Je la regardais et disons que je la trouvais plus au moins belle qu'une personne âgée...Et finalement en regardant de plus près, c'était un gars efféminé: Beau déguisement. Lui dis-je. Il fronçait les sourcils et il me répond offusquer: "Qui te dit que c'est un déguisement..?" Onh... Ce qui veut dire que j'ai des problèmes de yeux ou quoi? Non mais, je l'ai vu cette personne me regarder tout rider, bon, je suis officiellement folle.

Alors, je ne pu que m'excuser et retourner à ma marche quand j'ai entendu quelque chose crier dans les buissons. Je suis allée voir curieuse et inquiète et puis... Disons que ce n'était pas une belle vue. Désolée du dérangement... m'excusais-je gênée de la situation. Pourquoi je disais ça? Et bien... Pour ne pas les déranger davantage.

Donc, je continuais ma marche tout en évitant cette scène très... J'ai vu un certain jeune garçon âgé à peine 14 ans qui était à quatre pattes en faisant quelque chose de plaisant pour lui avec un homme qui a environ 21 ans et qui a l'air bipolaire. Je n'ai pas aimé la scène surtout quand ils sont en pleine sueur et qu'ils grognent... sans commentaire. Marchant plus rapidement que la normale, j'ai décidé donc de gambader par mon plus grand bonheur, mais j'ai pilé dans une flaque d'eau, puis un autre. Je trouvais cela étrange car plus tôt il n'avait pas plu. Dans ce cas, j'ai suivi les flaques d'eau trouvant une petite fille qui pleurait toutes les larmes de son corps: "POURQUOI!? POURQUOI?!" J'étais étonnée moi-même qu'elle disait sans avoir une suite à son pourquoi. Euhm... Pourquoi quoi? Demandais-je. "POURQUOI TU NE M'AIMES PAS SEI-SAMA?!"

Sei-sama? Ce que j'ai lu sur la pancarte du début que c'était Sei Yamada qui était la présidente de la forêt. Depuis quand qu'il fallait une présidente pour une forêt? Je haussai les épaules et je continuais ma marche. Je trouvais cela intriguant que Sei aille une admiratrice et elle la repousse. En plus, s'il y a une présidente, donc qui est le roi et la reine de coeur comme dans cette fameuse histoire d'alice au pays des merveilles? Je ne sais pas. Je me préoccupais plus de ma promenade pour traverser cette foutue forêt sans fin, quand j'ai vu des bouteilles d'alcool sur le sol... WHAT THE F**KING GOOOOSH!? Des pollueurs sont ici également? Des buveurs enragés sont là et ils veulent se saouler la gueule! Bah tabarouette ils sont partout à ce que je vois! J'ai entendu un buisson bougé et j'ai regardé dans cette direction. C'était une jeune fille qui levait ses poings vers moi : "Don'moi 'es Bou'eilles!!" Désolée, mais on dirait qu'elle parle comme une fille qu'est allée chez le dentiste et sa bouche est gelée. Je me retenais pour ne pas rire de sa tronche.

"J'en ai pas...Désolée..." Elle s'avançait mal habilement vers moi en me disant: "DON'MOI 'ES BOU'EILLE SINON ÇA VA FAIWE GWOS BOUBOU! *hic*" Je la regardais faire et sérieusement, j'ai eu peur pour sa vie car elle a voulu me frapper, mais elle frappa dans le vide et elle a tourné sur elle même pour fini KO à terre. Disons que pour les plusieurs fois qu'on me menace, c'est la première fois que je n'ai pas eu peur de me faire dévisager. Bon, je la regardais en train de ronfler et en train de ce battre dans son rêve quand des pas venaient vers moi: "Elle n'aaaaa blesséeee persoooooooooooooonne au MOIIIIIIIIIIIIIINS?" me chantais-je une voix d'homme. Je ne pu que sursauter et de hocher la tête négativement.

Il alla prendre la fille dans ses bras quand j'ai senti quelque chose me piquer atrocement ma fesse gauche. Ça fait horriblement mal, j'ai regardé pour savoir c'était quoi et je restais bouche bée... Une flèche était dans mes fesses. Je pourrais dire que je tombais rapidement sur mon ventre. Cameron me regardait et regardait aussitôt au loin. On entend seulement: "Cette flèche de haine était dédié à toi Cameron et non à cette merveilleuse jeune femme." Je peux le dire que je n'étais pas très heureuse qu'il dise un compliment à mon égard.

Sans crier gare, on me l'arracha et c'est alors que Cameron et Michael faisait un combat d'escrime pas très loin de moi. Moi? Je peux seulement me dégager en vitesse pour me retrouver face à face avec une fille, sans aucune émotion et qui me regarde: "Est-ce que tu es ce que tu dois être?" Je me grattais la tête et je vois en même temps un gars aux cheveux bleus habillé en lingerie très féminin arriver vers nous et me demander: "Rabais de 25$".

Je pouvais dire qu'entre eux c'était que de l'engueulade... Partant subtilement, j'ai vu un miroir avec une fille devant, non, c'était un gars car il enlevait sa chemise tranquillement et que je l'ai vu auparavant. Non, mais c'était le gars efféminé qui s'était déguisé en vieille. En tout cas, il chantait: "I'm to sexy for my love." Je partais en courant. Quel forêt de fou... Je vois une fille qui a les cheveux blonds platine avec un gars... Je n'osais pas arrêter et je continuais ma course quand PAAAFF! Je regardais le sol... plein de masque. "MES MASQUES DE MA COLLECTION SECRÈTE! T___T RETENUE JEUNE FILLE!! È___É

Je partais à ma course pilant sur un masque qui brisa en mille morceau. Il pleurait sous son masque. Comment je pouvais savoir? C'était une chapelure. Mais bon... J'ai couru... Un bureau avec une sorte de secrétaire qui flirtait avec un homme qui... je ne voyais pas son visage... Étrange...

Je n'osais pas poser la question de où que je me retrouve de peur que cet homme se retourne et que je vois une renne au nez rouge... En tout cas, je préfère continuer ma course ou ma marche... Je continue alors. Je marche, je marche. Je vois une personne valser du coin de l'œil, je vois une jeune femme qui engueule avec un homme qui sont tous les deux bipolaires... Oh mon dieu, que faire? Continuer, baisser la tête et continuer, mais non, je tombe sur une petite fille qui est rouge comme une tomate. "D-désolée..!" et moi nerveuse et apeurée que je suis je lui réponds: "P-P-P-P-ADON CAROTTE!(pardon cocotte)" J'ai couru, mais je bouscule un gars qui me regarde croche et qui se pose la question tout en marchant vers une fille qui est en train de lire un livre près d'un arbre-casier.

Que-que dire? je n'arrêtais pas de marcher sans répit. Je croise un gars mignon qui ressemble à un tombeur de filles, mais qui a l'air absent. Je continue, je crois une certaine jeune femme qui est avec plusieurs filles et qui sont en train de parler des gars... Je pourrais dire que je m'incruste dans la conversation, mais non que des conneries. "Gabrielle(oui (le) est étrange en train d'enlever ses short au loin..." et moi je réponds: "Vous parlez de la drôle de fille?" Celle qui boit un monster se retourne et me rote dans la face. Bon, j'ai eu ma réponse, je m'en vais. Je marchais, une fille qui criait "Il m'a trompé!" en courant avec les bras en l'air... Nom de dieu que dire?! C'est pas une forêt, mais bien un asile de fou.

Marchons... NON COURRONS! Pour être sûre de ne pas avoir une flèche dans les fesses ou avoir une retenue de la part d'un homme masqué. Je cours, je cours quand j'arrive dans une plaine.... Je les retrouve tous là en train de me regarder étrangement. Je les regardais avec étonnement. Comment ils ont pu se rendre là? Je ne sais pas, mais... Je vois quelque chose... Oh merde. Je retourne dans la forêt en gueulant comme une fillette les bras dans les air courant à toute vitesse: "PAS LE MERVEILLEUX MONDE DE MOONLIGHT ACADEMY!!!!"

[...]

« La nuit dans un sommeil se glisse un homme. Sa voix éclate en nous, sa voix nous somme. Serait-ce un rêve encore? Mais cette fois, on sait que le fantôme de l’Opéra est bien là en toi. » Un homme qui se faufilait partout. On disait que dans cette école, il n’avait que le Surveillant qui savait tout de l’école au fond de sa poche et pourtant non. Il avait bien un autre homme. Un homme bien plus menaçant et moins aimant côté fraternité que le Surveillant. Un homme qui n’était pas vraiment un homme. Il était un fantôme qui se faufilait partout dans des conversations ou dans certains événements. Il marchait sachant en vouloir davantage pour ainsi passé à ce fameux jours, que justement ce fameux jours arrivaient.

« Ce soir la scène est mise, nos sangs se mêlent. Ma main, mes mots, ma voix, je vous ensorcelles. Et si vos doux regards se perdent parfois. Vous savez que le fantôme de l’Opéra est là en soi. » Assez particulier qu’un simple professeur d’éducation physique pouvait bien faire dans ses temps libres. Il se promenait, découvrant bien des choses dont un masque de ce fameux Surveillant qui avait si lâchement laissé là, dans ce merveilleux auditorium. Dans cet auditorium qui ressemblait à un théâtre bien particulier et qu’on ne voyait que très rarement à cause de certain spectacle classique. Enfin, tout pour dire que le professeur, Dick Van Leeuwen, c’est-à-dire moi , était dans les parages. Je me promenais tranquillement m’informant de tout et de rien, me promenant ici et là pour tout analyser tout en détails pour savoir, planifier pour ce soir. Pourquoi Ce soir? Je ne savais que faire de ma vie, j’avais déjà fait de nombreuses victimes avec mon sexe et j’avais un peu fait souffrir mon ex meilleur ami, mais je voulais plus. Il me manquait quelque chose, de quelque chose de gros qui pourrait me faire sourire et sortir la bête que je renferme en moi.

« Ceux qui voient en face, sont pris d’effrois. Vous êtes un masque pour moi. Je suis la voix. Votre esprit et mon chant s’envolent ou ploient. Vous savez que le fantôme de l’Opéra est là en soi. » C’était ainsi quand on me voyait. À chaque fois que je me pointais dans les corridors ou quelconque endroit, les personnes disparaissaient pour me laisser de la place. Sur le coup, j’avais bien apprécié, mais au fur et à mesure, je ne trouvais aucunement pas intéressant. Je voulais quelque chose qui allait me divertir de plus en plus. Des hommes, des femmes, des garçons et des filles. Presque tout le monde m’emmerdait au plus haut point, sauf quelques personnes, mais j’allais finir par me lasser, cependant pas la belle et sexy jeune femme qui n’arrêtait pas de me sauter dessus à chaque l’occasion qui se présentait, surtout quand on se trouvait seul ensemble. Enfin, c’était pas ça qui importe, c’était le fait que tout le monde partait en courant quand je me pointait, mais je voulais plus, encore plus et toujours plus.

« C‘est lui le fantôme de l‘Opéra.» Pas terriblement. Je n’étais qu’un simple comédien qui convoquait une bonne partie de l’école dans l’auditorium, mais avant comment ça se passait avant tout? Ça serait génial avec des détails dans chaque situation. Oh, mes sadiques vous allez être servi.

Marchant vers l’auditorium. Préparant quelques petites affaires, préparant mon déguisement pour ainsi aller me changer pour l’occasion.

?? « Vous allez tout de même pas vous s‘amusez sans moi, professeur d‘éducation physique.»

Je rigolais en terminant mes préparatifs.

« En quoi ça te dérange, Jessica? Je peux bien préparer quelque chose de bien plus terrible et jouissant pour moi, tu sais.»

Jessica s‘approchait de moi pour aller se coller sur moi. Déposant sa tête sur mon épaule pendant que ses mains caressaient mon beau torse. Elle m‘avait fait retourner de bords rien que pour me coller? Écoute, j‘avais de la chance. Je l‘enlaçais et empoignais les fesses avec un sourire amusé.

J « Je voudrais vous aidez.»

« C‘est une mauvaise idée.» lui disais-je sèchement, plus sérieux.

J « Je m‘en fiche, je veux vous aidez!»

Je réfléchissais un instant. Elle n’allait pas me lâcher de sitôt, je la connaissais tout de même pour ainsi la baisé dans n’importe quel position et surtout n’importe quel endroit. Je soupirais finalement en déposant un baisé sur sa tête.

« Déguise toi très bien au fantôme de l‘Opéra. Je vais m‘enregistrer, de toute façon, tu ne parleras pas. Tu vas juste te montrer en cachant avec la cape.» lui lançais-je.

En gros, j’enregistrais quelque chose. Donc, elle allait se montrer quand les personnes allaient cesser de venir encore et encore. J’accrocherais malheureusement les portes pour que Jessica, elle, allait les fermer comme ça pas d’ennuis que les personnes sortiraient. En tout cas, pendant que tout le monde allait se poser des questions, la lumière fermerai et l’enregistrement débuterai. Mon plan de Running Man commencerait et je me divertirai en regardant les scènes comme témoin ou même comme coupable. Alors, je lui expliquais ça et finalement je pouvais commencer mon plan officiellement. J’allais enregistrer quelque chose, puis je me dirigeais à l’intercom pour faire la convocation dans l’auditorium. En changeant ma voix bien entendu. Une minute, vous vous dites sans doute que je n’avais pas de cours? Aucunement, j’étais libre, je profitais. Disant d’une voix très grave:

« Chaque élèves et membres du personnel sont convoqués dans l’auditorium. Je répète, chaque élèves et membres du personnel sont convoqués dans l’auditorium. »

L’annonce avec la voix modifiée était déjà faite, désormais il fallait plus qu’on attende. J’avais un cours libre et quand je sortais de la salle de la secrétaire, je me dirigeais tranquillement vers l’auditorium. De toute façon, je n’avais pas le choix. Un, j’avais annoncé à tout le monde de se rendre là bas. Pour quelle raison? Aussi simple, génocide pour moi, mais pour eux ça restait un vrai mystère. Deux, parce que lorsque je sortais de la salle j’allais où que par hasard une troupe se dirigeait. Je me mélangeais à la masse sans que je sois trop suspecte. Subtilement, je restais près des portes avec quelques profs, pour ainsi voir si tout allait bien. Bon, ils avaient des élèves qui partaient disant qu’ils n’aimaient pas cette situation, ou ils allaient aux toilettes, soit ils disaient qu’ils avaient autre chose à foutre. J’aimais bien ceux qui étant franc à la place de dire des excuses. Bon, ils restaient encore des personnes c’était bien. Pour les profs, ils s’en allaient tous, ils avaient d’autre chats à fouetter malheureusement.

Bon je fermais les portes et je les verrouillais subtilement. Toutes les portes étaient verrouillées, enfin presque toutes. Je pouvais rentrer et je pouvais sortir c’était tout ce qui comptait. Sinon, je rentrais et je faisais taire les élèves bruyants.

« SILENCE! Be quiet it!!! Enfin, je ne sais pas pourquoi on nous a convoqué ici, mais il en a beaucoup qui s‘en foutent carrément. Ce n‘est pas ce qui importe, c‘est...!»

On me coupait parce que j’entendais de l’orgue et tout le monde cherchait son emplacement. On avait pas d’orgue ici et bien à ce que nous savons. Cependant, je savais qui en avait pas aussi, car je l’avais enregistré. Mouaha! La tronche quand je vous avais révélé ça. Bref, reprenons. Une ombre était dans les bancs en haut et commençait à dire sa réplique. Elle était douée malgré qu’on sentait qu’elle avait un peu le traque. Bon et bien, moi je n’avais jamais le traque ça venait naturellement, on s’en foutait tant que les autres croyaient à cela. Oh, mais ma réplique que j’avais enregistré et modifier pour elle était impeccable. Normal puisque c’était moi qui l’avait fait.

Fantôme de l'Opéra (jessica)« Le fantôme de l‘Opéra est de retour...Mêlant vos sangs dans une mort atroce et de regret pour vous. Vous allez tous mourir pour vous punir de vos fautes graves que vous avez fait dans le vie.»

Jessica partait aussitôt quand la chanson commençait. Je restais sur place et je regardais les élèves qui étaient plutôt inquiet soit ils n’avalaient pas cette histoire. C’était pour eux, mais finalement je partais dans les coulisses, je montais jusqu’en haut où qui avait la passerelle. Jessica me donnait quelque chose, une substance qui faisait arrêter ton cœur pendant un moment et qui faisait taire la douleur également. Je lui donnais un baisé sur la tête de Jessica pour ainsi dire que je revenais. Je prenais une corde que je tenais avec la main et je sautais en bas. Tombant... Jusqu’en bas comme si on faisait du bonji. Finalement arriver au bout de la corde je la lâchais pour tomber officiellement quoi. Un rire du fantôme et quelques cris des jeunes filles surprises ici et là. Et Tadaaam. C’était mon meurtre, le premier meurtre techniquement parlant, mais pas en prouvant car j’étais bien vivant.

Quelques personnes allaient voir le prof, un peu incertain. D’autres allaient regarder dans la passerelle en haut et voyait une personne avec une grande cape et un masque, d’autres se dirigeaient vers la sortie en criant, mais rien y faire. Sauf quelques uns qui trouvaient la bonne sortie pour ficher le camps pendant que les autres restaient désespéramment. Le fantôme allait me retrouver et me tirait dans un coin sombre ou que personne allait nous rejoindre et quelques coups de claque sur la joue, je me réveillais en respirant douloureusement.

« Nom de chien!»

J: « On aurait pu trouver une façon de mourir.»

« J‘avais pas le temps et de plus, je vais endurer. Maintenant cours ici et là et donne moi ce saloperie de costume!»

On se changeait et c’était vraiment le temps du Fantôme de l’Opéra. La scène était mise il ne manquait plus que le sang qui se mêlait entre eux.

J’étais vraiment bien dans mon costume. J’étais complètement en noir même la cape et le masque n’était que blanc, qui cachait le ¾ de mon visage c’était bien car sinon on allait me reconnaitre. De toute façon, j’étais facile à me reconnaitre, j’avais les yeux bleus saphir, j’avais un merveilleux visage. Enfin tout pour me reconnaitre quoi. De plus, avec ce masque, oui il avait du monde qu’il allait faire leur curieux, ça je m’en foutais. Généralement, toutes les personnes ici présentes allaient mourir d’une manière ou d’une autre. Alors pourquoi me reconnaitre? Bon, qui sait peut-être il allait avoir des survivants, mais j’allais faire bien en sorte qu’il ne me reconnaisse pas sinon. Aller up, un billet pour aller et non pour le retour.

Donc, je regardais un instant la belle Jessica qui était réellement ravissante. Une pure merveille. J’allais l’embrasser une dernière fois avant de lui taper une fesse et de partir aussitôt. Je marchais tranquillement montant ici et là pour aller à la sortie et la barrer pour ne plus que personne la sauve. Cependant quand j’allais sortir de cet endroit, je voyais Cameron rester là bien sagement sur les bancs de l’auditorium. Je voulais bien aller le voir et le dire un petit bonjour, mais lui, il était le dernier. Il était le dernier, je voulais avant tout lui faire payer de crime d’avoir survécu. Alors tant pis!

Marchant près des rideaux pour éviter son regard. Je voyais Gabriel aller dans les coulisses sans doute pour se cacher parce qu’il avait peur. Je faisais le tour, en fait, je passais derrière les rideaux pour éviter le regard de ma dernière victime. Je marchais tranquillement pour rentrer tranquillement dans les coulisses. J’entendais l’eau couler, alors je fermais la lumière pour qu’il aille un peu plus peur de la situation.

G: - Hey oh! La lumière!

Je ne disais rien, j’allais près de la douche quand le moment serait venu pour lui de sortir.

G: - Hey oh!!! La lumière! Grrr imbécile!

Il fermait l’eau et sortait de la douche pour tenter de trouver l’interrupteur, je profitais de déposer mes mains sur ses hanches pour le câliner un peu. Toucher ses hanches en enlevant mes gants bien avant bien sûre rien que pour qu’il sente que c’était quelqu’un d’autre en perspective et non moi.

Gabriel, il frissonnait sans doute car je descendais mes mains vers l’intérieur de ses cuisses et je soufflais dans son cou, il gémissait de plaisir. Est-ce qu’il pensait que c’était quelqu’un d’autre où..?

G: - Hmm... Ellis, enfin tu te décides...

Je restais surpris, je dois dire. Je montais les mains pour lui caresser le torse et monter vers le cou. Le gars blond durcissait sans doute de stresse et touchait cette fois l’interrupteur pour ensuite me voir, mais j’étais près de lui, coller mon torse contre son dos et mettant les mains près de sa mâchoire. Puis quand il se tournait la tête pour ainsi me regarder, je l’avais encore plus tourner.

Crock!

Un bruit sourd de cou cassé, il était mort sur le coup. Je voyais qu’il tombait lourdement sur le sol avec la tête molle qui était toujours sur le côté. On pourrait lui dire, Rest In Peace pour les autres, mais pour moi, je dirais bon séjour dans le non paradisiaque.

Je me promenais et je voyais une merveilleuse scène en arrière des rideaux. Lucas était pris de panique et il avait pris une hache qu’on conservait précieusement en cas de feu. Je regardais la scène dans un coin sombre pendant que Jessica me rejoignait subtilement me disant que les autres étaient échappés. Bon, je n’avais pas d’autre choix que de commencer avec ces personnes et aller ailleurs pour aller assouvir une petite vengeance, mais bon. Je regardais la scène, me divertissant davantage d’un Lucas apeuré qui n’était pas très fort côté niveau des bras. Il titubait ici et là alors que Toby et Benjamin s’éloignait, mais non. Il titubait vers Toby qui reculait, reculait pour s’enfarger dans les fils de l’éclairage et boom.

Je cachais les yeux de Jessica pour ne pas qu’elle voit cette horreur. Lucas qui venait tout juste d’encré sa hache dans un misérable torse de Super Boy. Bon Benjamin restait un peu de froid concernant, mais il s’en allait pour ne pas se faire tuer par Lucas. Pour la catin, il paniquait encore plus, je riais pour qu’il m’aperçoit pendant que je poussais Jessica derrière moi pour ne pas qu’il voit qu’elle était avec moi.

L: - C’est... C’est... AAAAAAAAAAAAAH!!!

Criant comme une fillette, j’éclatais de rire, je n’étais plus capable que je riais sans cesse. J’avais entendu un grincement de porte comme si quelqu’un venait tout juste de rentrer et par malheur pour cette personne. Lucas enlevait la hache de la poitrine de Toby de toute ses forces, mais trop fort pour planter la lame de la hanche entre une pair de poitrine qui ne se soutenait pas.

« Ouf! Et de deux! » lui disais-je en voyant l’infirmière tomber lourdement sur le sol.

L: - Ce... Ce n’est pas moi! AAAAAAAAAAAAAAAAH!!!

Je le voyais partir en courant vers des escaliers, je soupirais, j’allais en finir avec lui tant qu’à y être. Je regardais Jessica pendant un moment et je lui disais.

« Dit ma belle, tu ne veux pas aller retenir Cameron et Lystatria dans les bancs des téléspectateur pour qu‘ils attendent patiemment leur tour?»

J: - Ok, mais à une condition.

« Laquelle?» disais-je en fronçant les sourcils.

Je ne pouvais rien d’autre, elle m’embrassait d’un baisé si passionné que je me trouvais de plus en plus sensationnel de pouvoir embrasser de la sorte. Elle s’en allait alors que je lui tapais une fesse avant d’aller se diriger vers la passerelle en haut. Dire que j’étais en noir et que j’avais un masque blanc. Je soupirais et je montais les escaliers pour aller poursuivre Lucas qui était épuisé à cause de son asthme.

« Un problème?»

L: - aahhh.... Mon asthme... Aah... Merde... aaah!

Il tentait si bien que mal de se relever et de continuer de courir, mais à l’emplacement où nous sommes il ne fallait pas courir. Je m’approchais de lui pendant que lui titubait sous sa pression de son asthme. Je profitais de secouer la passerelle en haut pour qu’il puisse... Oh! Gauche.... Allant vers la droite. Tentant de prendre quelque chose dans sa main... Oh! Passe par dessus la rampe et voilà, il faisait un flip arrière pour tomber sur la scène devant Cameron, Lystatria et Jessica que celles-ci gueulaient, horrifiées.

« Plus que trois maintenant qui reste ici...» comptais-je en regardant Lucas.

B: - Qui êtes-vous?

« D‘après toi, ton pire cauchemar! Enfin d‘après le destin c‘est ton tour.» Rigolais-je en le regardant avec un sourire diabolique.

Benjamin... Je le voyais les fermer et me regarder d’un regard noir. Honnêtement, si j’étais assez idiot. J’aurais sauté dessus pour essayer de le tuer, mais disons j’aurais pris le risque de me tuer aussi. Ce petit était également fort, je l’avais vu dans les tests physiques et sérieusement, c’était rare qu’on me laissait bouche bée. Qu’on me laissait stupéfait, qu’on me laissait ruminer dans mon coin pour ainsi déterminé que je n’étais pas le seul à être fort. Ouais, je n’étais pas le seul. Le Surveillant était là pour calmer mes ardeurs et maintenant il avait Benjamin, mais Benjamin, j’allais le dévorer en entier comme une chèvre qui tente de protéger son troupeau. Haha, j’étais un loup, une bête assoiffée de sang, je mange tout ce qui passe dans mes pattes et ça, je ne serai jamais propre pour un type comme lui.

Il était là. Se tenant sur la passerelle où que j’étais sensé être mort et Lucas avait tombé plutôt. Je le regardais droit dans les yeux derrière mon masque pendant que lui s’approchait de moi. Oh! Non. Je n’allais sans doute pas l’affronter maintenant. Je n’étais pas assez fou pour aller dans le piège de la chèvre. Je rigolais tranquillement. Finalement, j’avais entendu des pas, beaucoup de pas aller sur la scène. Je jetais un regard et c’était Cameron et Lystatria. Jessica courrait dans les escaliers pour ainsi me rejoindre, oh j’avais une surprise dis donc.

B:- Ça répond pas à ma question.

« C‘est inutile de savoir mon identité si c‘est évident et que tu es à deux doigts de mourir.» rigolais-je tranquillement en faisant face et en tenant la rampe.

B:- Évident? Je vois pas qui tu es!

« Ok, alors, je dis...» réfléchissais-je en me perdant dans mes pensées.

« PING! Sur la tête. C-cling, C-cling, Boom!!!» Croisais-je les bras en souriant de plus belle.

B:- C’est quoi ce merdier?

Et Ping! J’avais vu Jessica arrivée avec un poteau de métal qui-ne-savait-d’où-ça-sort. Je l’avais regardé arriver et prendre du temps avant de pouvoir lui fracasser une de ses tempes. Ouais, les tempes que nous avions près des yeux. Cette partie est tellement fragile que tu pouvais donner un coups de poing et cette personne se ramasse rapidement à l’hôpital dans l’urgence ou il est mort, rapidement. Alors, faites attention surtout quand une femme en chaleur a un poteau de métal qui sort de l’inconnu et qu’elle se décide finalement se vous frappez.

C’était Jessica, je regardais la scène avec amusement. Je voyais Benjamin tombé au delà de la passerelle et tomber juste à côté de Lucas. Je regardais la scène et j’allais voir Jessica.

« Tu en as mise du temps, ma belle.»

Elle me souriait. Elle s’en allait déposer l’arme du meurtre qu’elle perdu rapidement l’équilibre. Je la sentais partir vers les escaliers. Malheureusement, j’étais encore loin d’elle. Je ne pouvais pas aller l’attraper et lui câliner de peur de la perdre, non, elle tombait et moi je tendais ma main pour attraper les siennes. Non, non, je la voyais tomber... Tomber, cogner la tête sur la rampe pour ainsi débouler les escaliers devant moi. Je restais sur place regardant la scène dans ma tête.

« Jess...» soufflais-je surpris de cette tournure.

Je regardais en bas, je la voyais. Une marre de sang qui grossissait en dessous d’elle. Je descendais rapidement les escaliers et prendre ses pulsations de cœur en mettant mes deux doigts sur son cou. Rien. Je caressais doucement son visage qui était pâle et je lui donnais un dernier baisé.

« Je t‘aime...»

Je regardais la salle qui était à ma gauche. Je voyais Lyst qui s’en allait à notre rencontre. Il ne fallait pas qu’elle me voit surtout près d’elle en train de caresser la joue de Jessica. Il ne fallait pas. Je ne l’avais pas tuer, c’était un accident qu’elle avait causé elle-même. Que faire? Je lui donnais un dernier baisé officiel avant d’aller dans l’ombre et d’attendre la scène. Il me restait que deux personnes, mes deux oisillons, mes deux troubadours, mes deux satanés que je déteste tant. Vous savez, pour une fois j’avais mal au coeur.